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Il est marrant ce Sarko. Quand ça merdoie c'est jamais sa faute. C'est la faute aux 35 heures, à la retraite à 60 ans, à la gauche, à la crise, aux Roms, aux gens du voyage, à l'Europe, aux banques, aux financiers, à ses ministres, aux préfets, aux juges, aux syndicats, aux cons de français qui comprennent pas sa politique.
En fait, on le mérite pas.
On n'est pas conscient de sa Grandeur.
Quand on pense que Sa Boursouflure s'est donnée à nous. Et qu'on chipote pour quelques déficits ici ou là et quelques lois vaguement répressives.
On est des ingrats !
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Moi c'est pas bosser jusqu'à 62 piges qui me navre c'est de bosser tout court. Ou tout long. Ou même tout étroit. Bosser, bosser, putain, y zont que ce mot là à la bouche. Que ce mot bas à la louche. Moi je veux rêvouiller, baisassouiller, dormiglandouiller, lirassouiller à la rigueur, medorerlapillulouiller, pinailler du poulailler mais pas bosser. Pour qui, pour quoi ? Pour ces gros capitalistacigarmaniaques qui s'enfouiraillent la mitraille ? Très peu pour moi. Vais me repieuter dare dare. Dard dard.
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RAS le CUL d'Hortefeux, de Besson, de Lefêvre ou Lefêbre ou Lefémur ou Lefaittoutcourt, enfin l'autre là, le pénible. Ras le bol, ras la casquette, ras le képi, ras la calebasse. Peut plus. STOP. Un peu d'intelligence, d'amour, de douceur, d'humanité, de joie, de beauté. SVP.
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